- Guidé par le besoin : Rechercher des solutions dans le vivant pour répondre à des problèmes spécifiques.
- Guidé par la connaissance : Décrire des objets, des formes et des fonctions du vivant pour voir si elles peuvent être appliquées à des problèmes de packaging.
Art science au service du design
Le cours de Philippe Bouchard met l’accent sur l’importance de mêler art et science, forme et design. Il invite les étudiants à se demander pourquoi et comment le vivant a une forme particulière et comment ces formes peuvent inspirer les ingénieurs pour créer de nouveaux procédés. Cette approche, appelée biomorphisme, permet de repenser le design des emballages. Par exemple, l’Homme s’est inspiré des abeilles pour créer des structures alvéolaires, particulièrement efficaces dans l’industrie du papier, carton.
Mise en projet : application pratique
Pour illustrer ces concepts, les étudiants sont mis en projet afin de montrer comment appliquer les méthodes de biomimétisme pour envisager des solutions présentables au grand public, à leurs employeurs ou à leurs collaborateurs. Cette démarche permet de développer des idées innovantes en s’appuyant sur des milliards d’années d’évolution et d’adaptation du vivant.
Une démarche innovante
Le biomimétisme est une démarche qui plaît et qui permet d’aller plus loin dans la réflexion et dans l’idéation. Comme le souligne Philippe Bouchard, c’est un autre moyen d’avoir des idées en se basant sur 4 milliards d’essais et d’erreurs. De plus, le matériau le plus utilisé en packaging, la cellulose issue du bois, est lui-même un exemple de biomimétisme.
Pour en savoir plus sur les innovations en packaging et les formations proposées par l’ESEPAC, n’hésitez pas à explorer notre blog.